24 heures en Gambie avant notre départ pour la Casamance, Sénégal.Chez nos hôtes d’un soir les filles sont de sortie – photo call

L’épouse de notre hôte vit 11 mois sur 12 à Londres. Elle revient pour le festival de Niafrang en Casamance.

La Casamance, région sénégalaise au sud de la Gambie.

L’école de Niafrang

Portraits de Casamance

Dernières 24 heures sur le continent.

En panne d’essence au sud de la Gambie.

 

Lorsque mon fils me dit qu’il a été invité par son voisin Keba à le rejoindre au Sénégal pour lui prêter main forte sur un festival de musique, je saute sur l’occasion pour m’inviter: on a toujours besoin d’un photographe. J’en profite pour amener mon père et nous voila trois générations de Moogin partant à l’aventure!

Ceci dit, je consacre un page entière au festival ici. Sur cette page j’ai décidé de me concentrer sur l’avant et après festival. Nos premieres 24 heures se passent en Gambie où nous atterrissons au milieu de la nuit. Un périple en voiture de quelques heures nous verra arriver en Casamance. La Casamance se situe au sud de la Gambie mais appartient au Sénégal. La Gambie est en effet prise en sandwich au milieu du Sénégal.

Bref, Portrait of Africa retrace notre  séjour. C’est surtout une collection de portraits un peu pêle-mêle avec quelques moments d’explorations: l’école, les commerçants, etc…

Ce voyage a eu lieu peu de temps après la crise politique qui a secoué le pays de la Gambie, autant dire que nous étions un peu nerveux à quelques jours du décollage. A savoir si d’une part nous allions pouvoir atterrir et ensuite sortir de Gambie… Ça nous a valu quelques nuits blanches.

When my son told me he’d been invited by his neighbour Keba to join him in Senegal to help him out on a music festival, I leapt on the opportunity to get invited too: You always need a photographer. I made the most of it and took my own dad along and there we were, three generations of Moogin, on an adventure!

Portrait of Africa presents the work I did before and after the music festival of Niafrang.

Portrait par mon fils, Keziah Newton-Moogin 🙂

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